Reflections on 2021 Africa Human Rights Day

The 2021 Africa Human Rights Day is celebrated amidst the global COVID19 pandemic. The experience of many people across the continent also shows that COVID19 has brought a huge human and peoples’ rights consequences. The pandemic has highlighted the pervasiveness of the socio-economic deprivations affecting the masses of our people. We have come to realize that under such conditions of deep structural weaknesses of our societies, the most widely used public health response measures could not be effectively implemented, without leaving the most vulnerable from the scope of these protection measures. How can someone with no access to drinking water comply with the public health call for handwashing? How can someone with no shelter comply with the public health requirement of staying at home?This year’s commemoration of Africa Human Rights Day organised by Human Rights Priority by the executive Director Miguele Houeto and her entire team (Achille Fatondji, Jaly Badiane etc.), is an important occasion to reflect on these and related issues. It presents us the opportunity to show not only why COVID19 is also essentially a human rights issue but also why human and peoples’ rights are the foundation for achieving the ideal of Agenda 2063 and the sustainable development goals of ‘leaving no one behind’

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How could nonprofits mobilise financial resources during and after COVID-19?

I facilitated a session on “Integrating alternative financing models to strengthen 3rd Sector Resilience in a Post Pandemic West Africa”, during the 2021 DAAD Alumni Conference. Aside the traditional channel of funding, there are 12 proven models of mobilizing resources for any civil society organisations in Africa, no matter its size, staff or strength.

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«Le crocrodile du Botwanga» visionné par des universitaires camerounais

Fabrice Eboue propose un rire réflexif sur les crises postcoloniales à travers les tendances de la postcolonie». Le Prof. Alain Cyr Pangop Kameni est arrivé à cette conclusion, à l’issue de la conférence organisée par le club bilingue de l’Université de Dschang, le 15 avril 2015 à la salle des conférences et des spectacles de l’institution. Le thème: «Le Crocrodile du Botwanga ou rire des crises postcoloniales». Outre ce spécialiste de la critique littéraire et cinématographique, le Dr Yves-Abel Feze, critique littéraire lui aussi, a siégé dans le panel. David Wateu, étudiant de Master I en Études italiennes, a modéré les échanges.

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Serons nous tous nègres demain ?

L’on aura beau ériger des frontières, construire des murs et des enclos, diviser, classifier, hiérarchiser, chercher à retrancher de l’humanité ceux et celles que l’on aura rabaissés, que l’on méprise ou encore qui ne nous ressemblent pas, ou avec lesquels nous pensons que nous ne nous entendrons jamais. Il n’y a qu’un seul monde et nous en sommes tous des ayants droit

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Les prémices et les prémisses de la Gouvernance en Afrique !

La guerre froide est incontestablement la cause lointaine mais fondamentale du déferlement du système démocratique sur le continent noir. La destruction du mur de Berlin le 9 novembre 1989 marque la fin de cette guerre initiée depuis 1947 entre les Etats Unis et l’URSS et annonce un tournant décisif dans l’histoire du monde. Elle a été le signe prémonitoire de la dislocation du bloc communiste et du déferlement de la démocratisation dans le monde et surtout en Afrique. En effet, depuis leur accession à l’indépendance, jusqu’à la chute du mur de Berlin, les États africains, n’ont connu que des systèmes dictatoriaux, totalitaires et tyranniques. Le contexte mondial marqué par la guerre froide le justifiait. Mais dès la fin de cette guerre dont la destruction du mur de Berlin en était le signe avant-coureur, le vent de l’Est initié par Gorbatchev[2], va souffler sur le continent africain et ravagera certains régimes dictatoriaux pour laisser la place à la démocratie considérée comme un des prémices de la gouvernance.

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Que doit faire l’Afrique pour se lever des strapontins du bateau de la mondialisation?

Pour passer du rôle de spectatrice à celui d’actrice au théâtre de la mondialisation, l’Afrique doit adopter une approche complémentaire de son développement. Elle doit ainsi affronter les défis liés à la mondialisation de manière correcte et au rythme qui convient, tout en restant sensible aux problèmes de développement qui lui sont particuliers. La problématique de notre réflexion était de montrer comment y parvenir compte tenu des tensions entre les systèmes économiques actuels et parvenu au terme de notre analyse, nous constatons que les challenges que l’Afrique se doit de relever restent nombreux. Entre autres nous avons évoqué la nécessité de passer le stade des gouvernements, autoritaire et monarchique, pour intégrer la « gouvernance internationale » ; de passer d’un nihilisme éthique à un civisme éthique ; de passer de la fermeture ou du repli identitaire et culturel à une ouverture au monde, à une poétique du Divers et de progresser dans la voie de l’intégration régionale qui exige de la part des pays un engagement fort à fournir des efforts résolus pour rationaliser les arrangements existants.. Aussi, à l’heure de l’économie du savoir, l’Afrique ne devrait plus être marginalisée dans le processus de production des connaissances d’où la nécessité pour la recherche africaine de faire face au défi de l’excellence scientifique. Enfin, nous avons aussi relevé qu’il était nécessaire pour y parvenir de mettre sur pied des politiques qui promeuvent le développement éthico-philosophique, socioéconomique et idéologico-culturel et aussi d’user l’intégration régionale comme tremplin pour s’intégrer de manière fructueuse dans le bateau de la mondialisation.

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